Aujourd’hui on va parler du besoin d’identité de notre espèce qui est comme un manteau sur mesure, cousu et mis en forme par nos propres préjugés.
Dans les poches du manteau on trouve les mœurs, le caractère, les passions, les plaisirs, les chagrins et surtout les craintes de la personne ainsi revêtue.
Il fait extrêmement froid, en plein hiver de la libre pensée.
Pourtant on pourrait suspendre ce manteau sur la patère fixée dans le couloir étroit de l’illusion, une illusion d’être ainsi protégé une fois rentré chez soi.
Bonne écoute !!!