Alfredo Carmelo

Opposant au régime militaire de Colombie, son pays natal, il avait été emprisonné et torturé durant 9 ans. À sa sortie de prison, il avait réussi à quitter l’Amérique du Sud pour l’Europe, avec l’aide de son avocate, et à obtenir l’asile, puis la nationalité suisse en 1988. Il avait alors entamé des études de psychologie pour parfaire sa formation d’anthropologue.

Il peignait aussi avec délicatesse et talent, exposant sous le nom de Calof, offrant ses œuvres pour les causes lui tenant à cœur.

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